Lorsque je te croise, blessure
Quand je t’approche, détresse
Ou que tu entres sans frapper, mort
Vous vous plaignez, parfois, que je vous craigne si peu…
C’est qu’il y a en moi – bien qu'au-delà de moi
Plus d’amour que de peur
Plus d’espoir que de chagrin
Plus de confiance que de violence
Je le dois à un ami qui vous a croisé, autrefois
Et qui vous a ôté le dernier mot dans son dernier souffle
Bienvenue dans ma foi
Petite comme une miette de pain
Mais donnée pour la guérison de nos corps
Lorsqu’ils nous frappent
Mais offerte pour le relèvement de notre être
Quand il se meurt
Bienvenue dans ma vie éternelle
Arcabas: le fils prodigue
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