Depuis tant d'année que je t'approche, cher vivant humain,
Et que j'ai le
privilège de goûter à ton mystère,
tu m’as laissé approcher
ta saveur,
voire un peu de ton
sens, si j’avais de la chance...
Comme une manière
de t’apprivoiser.
Mais jamais tu ne
m'as pas permis de t’élucider entièrement.
Je l'ai d'abord
regretté, avant d'y consentir.
Et grand bien m'en
a pris.
Car, depuis, je vis
cette joie, simple et vraie,
de me réchauffer
aux rayons de ta lumière,
si apaisante et
vraie.
Et tu remplis mon être de clarté.
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