«
Le lieu sûr de ma paix est ce plus grand que moi, cet autre qui me
saisit et que je ne saisis pas, qui m’inspire et m’aspire au-delà de
moi-même, au-delà de ce dilemme tourbillonnant de tout vivant, pris
entre l’effroi de la mort et l’acceptation de ma finitude.
Cette
respiration du monde qui emprunte mes poumons que le temps d’une ronde,
ce grand cœur têtu qui bat hors de ma poitrine et qui prend le relais
de mon arythmie, mon mon lieu sûr, hors de moi, celui dont
Saint-Augustin disait : mon âme est inquiète jusqu’à ce qu’elle repose
en Toi. »
(Marion Muller-Colard, L’intranquillité, Ed Bayard)
mardi 9 mars 2021
Pour les « Intranquilles » (dont je suis)
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